Ma chère lectrice, mon cher lecteur,
Jamais depuis la Seconde Guerre mondiale y a-t-il de pire moment pour investir en Bourse.
Jamais :
- Pas en 2007, juste avant la crise des subprimes ;
- Ni en 2001, juste avant l’explosion de la bulle Internet ;
- Pas plus en 1987 la veille du lundi noir ;
- Ni en 1973 juste avant le krach pétrolier ;
- Sans doute n’était-ce pas pire en 1928… Mais mes données ne remontent pas jusque-là.
Depuis 1947, lorsque l’indicateur que nous allons étudier monte, les rendements boursiers de long terme chute.
Et pour la première fois depuis 1947, les rendements boursiers moyens espérés à 12 ans sont devenus NÉGATIFS.
Cela signifie qu’à long terme, vous êtes presque assuré de perdre en Bourse.
Et pourtant, comme en 2000 et 2007, c’est au pire moment que les particuliers reviennent massivement en Bourse.
C’est criminel de la part des gérants qui emmènent une nouvelle fois les épargnes de leurs clients vers l’échafaud.
Oh, ils y sont bien incités pas les grandes banques et une classe politique cléptocrate, mais enfin tout de même : À chacun de prendre ses responsabilités, et vous aussi mon cher lecteur ; après tout c’est votre argent, et les promesses n’engagent que ceux qui les croient.
Cette lettre est d’autant plus importante que la corrélation est forte et que l’immense majorité des conseillers, inconséquents, vous dira le contraire.
C’est la tarte à la crème de l’investissement : Investissez en Bourse à long terme vous disent-ils pour éviter les fluctuations du court terme.
C’est parfois vrai, c’est FAUX aujourd’hui. Vous pouvez éventuellement espérer quelques dizaines de pourcents de gains à court ou moyen terme si vous êtes prêts à en perdre 80 mais à long terme vous êtes sûr de perdre.
Le CAC40 n’a pas encore retrouvé son sommet de l’an 2000 et à peine celui de 2007 ! Et aujourd’hui, les perspectives sont encore pires.
Si vous avez une assurance vie, des unités de compte ou des fonds de votre banque, vous êtes concerné ! Partagez cette lettre. Étudiez-la, discutez-la. Vous allez voir, il n’y a rien de compliqué.
La raison pour laquelle je vous dis que les Bourses sont trop chères, c’est parce que les entreprises cotées ne créent pas assez de valeur.
C’est comme si vous deviez acheter un outil, mettons une scie, et que tout ce que l’on vous présentait était un vieux machin tout rouillé et émoussé au triple du prix du neuf : si vous achetez cette scie aujourd’hui, vous sûrs de vous faire avoir.
Vous ne couperez jamais rien avec et même si tous semblent lui accorder une valeur extraordinaire, à la fin, le Roi est toujours nu et il se trouve toujours un petit enfant pour lever l’hallucination collective.
Il faut bien que la valeur de désir et l’utilité parfois se rejoignent, il en va simplement de la survie de l’espèce humaine.
En Bourse, c’est pareil.
John Hussman a publié il y a quelques jours ce graphique qui semble compliqué mais qui montrent que les Bourses sont comme cette scie toute rouillé, beaucoup trop chère et improductive :
Ce graphique dont je vous ai fait une représentation à main levée au début de cette lettre montre une corrélation extrêmement forte entre la moyenne des rendements boursiers à 12 ans en fonction du ratio des capitalisations boursières sur la valeur ajoutée brute des entreprises :
Plus une entreprise coûte cher et moins et elle produit de valeur… Et plus elle a de chance de voir sa valeur baisser à long terme.
Et s’il n’était mort, Monsieur de Lapalisse serait toujours en vie et ferait envie.
Le très grand mensonge des Bourses n’est pas tant leur valorisation que les promesses de richesses qu’elles impliquent.
Demain est le nouvel opium.
Bien sûr vous pourrez me faire au moins 3 objections (et les autres en commentaire)…
[…]
Je m’appelle Guy de La Fortelle et je rédige le service d’information GRATUIT et INDÉPENDANT : L’Investisseur sans Costume.
À partir d’aujourd’hui, je vais vous dire tous les secrets de l’économie et de la finance que les médias grands publics « oublient ».
J’ai écrit un article complet sur Le pire moment pour investir en Bourse depuis 1947 : SORTEZ !
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